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En quête de biodiversité au pays du loup Spécial Ados du 07 au 21 Juillet 2024

Séjour itinérant pour l'étude de la biodiversité d'altitude dans le Val d'Anniviers Voir descriptif détaillé

En quête de biodiversité au pays du loup Spécial Ados du 07 au 21 Juillet 2024

Séjour itinérant pour l'étude de la biodiversité d'altitude dans le Val d'Anniviers Voir descriptif détaillé

Menez à bien d'incroyables projets scientifiques !
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Le Journal de Bord

Vous trouverez le bilan scientifique des deux semaines à la fin du journal de bord

Dimanche 07 juillet : arrivée au gite de Chandolin

Après une grosse journée de voyage et un bon repas au gîte, l’équipe itinérance composée de Louis, Yann, Sam, Samuel, Tiphaine et Sandrine, s’est retrouvée en petit comité pour apprendre à faire connaissance et exprimer ses envies pour cette belle aventure qui nous attend ! Demain matin, préparation des sacs et répartition du matériel commun.

Lundi 08 juillet

Rédacteurs : Yann, Samuel et Sandrine
Ce matin réveil 7h30 puis petit déjeuner avant la préparation des sacs et le rangement du matériel commun. Vu la quantité de matériel, nous craignons que tout ne rentre pas dans nos sacs, mais après un tassage professionnel nous voilà fin prêts à partir.

C’est donc vers 10h15 que nous commençons l’itinérance, au départ du gîte et sous le soleil !!!!

Durant le début de la randonnée nous avons pu voir et/ou entendre le Casse noix moucheté, le Troglodyte mignon, le Pinson des arbres, l’Hirondelle des fenêtres, le Martinet noir, le Pic épeiche et observer de nombreux papillons. Nous avons aperçu furtivement deux rapaces qui nous ont été confirmés comme étant l’Aigle royal et le Gypaète barbu. Nous espérons les observer un peu mieux ces prochains jours.

La pause pique nique nous a permis de nous initier à l’identification des papillons de jour.

La fin de la rando était raide et pentue mais l’effort en vaut la peine car arrivés au lieu de bivouac, nous avons découvert le lac de l’Armina avec ses belles falaises qui l’entourent. Près du lac, nous avons pu observer la Grenouille rousse, le Traquet motteux et le Pipit spioncelle, tous deux des oiseaux typiques de l’étage alpin. L’arrivée sur notre lieu de bivouac a été fort appréciable et nous avons pu nous installer confortablement. Avant de manger, nous avons fait un petit tour sans les sacs pour observer marmottes et Faucon crécerelle.

Le journée se termine par un bon repas avec comme bruit de fond l’Alouette des champs.

Mardi 09 juillet

Rédacteurs : Louis, Yann, Tiphaine et Sandrine

Après une nuit à la belle étoile, nous fûmes réveillés par les rayons du soleil et le ronronnement du réchaud. Quelle agréable surprise de se réveiller au milieu des montagnes ! Et pour les chanceux qui n’ont pas beaucoup dormi, le ciel était absolument magnifique. C’est donc dans un cadre grandiose que nous avons pris le petit déjeuner et rangé les affaires. Nous avons profité de ce lieu pour réaliser notre premier protocole oiseaux et habitat. Nous avons vu et/entendu Pipit spioncelle, Alouette des champs, Rougequeue noir.

Nous avons ensuite repris notre route en direction de l’hôtel Weisshorn construit en 1882 à 2337m d’altitude. Pour info, nous ne sommes pas rentrés dedans, sauf Louis qui a eu la chance de visiter les toilettes.

Le soleil tape fort, nous avons réussi à trouver un endroit à l’ombre pour manger. On a repris la route pour aller faire un protocole dans un endroit escarpé. Et là, nous vîmes un Aigle royal, que dis-je, deux Aigles royaux !! Et... quelques minutes plus tard, apparition de 3 vautours. Tiphaine sort sa longue vue et elle identifie 2 Vautours moines et un Vautour fauve. A savoir que le Vautour moine est très rare dans toute l’Europe, ce fut donc une observation très intéressante pour le projet scientifique et pour notre bien être naturaliste.

Après ces observations incroyables, nous reprenons notre route pour rejoindre le bivouac du Tsahelet qui nous servira de camp de base pour les trois prochaines nuits.
Nous trouvons un lieu idyllique ponctué de chaos de bloc, au bord de la rivière. Cathy nous ravitaille et nous voilà avec une foultitude de victuailles.

Pour faire court car il est tard, comme autres aventures, il y eu : un filtre à eau HS puis réparé, 3 vautours fauves, quelques fous rire pour des raisons qui resteront secrètes, un repas sous les derniers rayons du soleil (et non sous l’orage prévu) puis repos pour de nouvelles découvertes demain !!!!

Mercredi 10 juillet

Rédactrice : Sandrine

Aujourd’hui journée sans itinérance ce qui fait du bien à tout le monde. Nous avons quand même décidé de monter à 2730 m pour faire un protocole habitat qui viendra renforcer les données du programme Biodiversita.

Nous avons pu apercevoir 3 aigles au milieu de la brume, de nombreuses Cicindela gallica, (un coléoptère présent en haute montagne), une magnifique araignée Aculepeira carbonaria, des crottes de lièvre et de chamois et plus tard un chamois, et un serpent près du lieu de bivouac.

Nous avons profité de cette journée pour s’amuser au jeu de cartes des familles de papillons du Val d’Anniviers et un Dobble sur les oiseaux.

Puis après un bon repas nous avons joué à un jeu très rigolo où l’on doit faire deviner différents animaux de montagne à son équipe en parlant puis en mimant. Fous rires assurés !!!

Jeudi 11 juillet

Dernier jour à notre camp de base du Tsahelet. Ce matin nous avons fait un protocole oiseau qui consiste à écouter et identifier les oiseaux sur une zone précise pendant 10 minutes. Ensuite nous avons préparé nos affaires pour faire une randonnée à la journée dans le but de réaliser un protocole habitat près d’une zone humide encore non connue du projet scientifique.

Lors du protocole habitat, nous avons fait connaissance avec la Saxifrage à feuilles opposées, une plante alpine qui est capable de survivre à plus de 4000 m d’altitude !

Demain départ du Tsahelet pour de nouvelles aventures en espérant que la météo reste clémente !

Vendredi 12 juillet

Rédacteurs : Louis, Sandrine et Tiphaine

Réveil par la pluie et sous la pluie. Ça sera d’ailleurs le thème de la journée. Notons toutefois que nous avons eu un petit créneau sans pluie pour ranger le camp de base et partir en direction de notre dernier bivouac. A midi la pluie nous a rattrapés. C’est donc abrités sous le auvent d’une cabane que nous avons pique niqué. La suite de la randonnée s’est déroulée sous une belle forêt de conifères avec quelques trouvailles de la nature. Une plumée de Pic épeiche, quelques plumes de Grives draine et de Casse-noix mouchetés, de belles observations de Casse noix et l’identification d’un papillon d’altitude, LE papillon du séjour, nommé le Moiré franche pie !!!

C’est donc heureux comme des renardeaux que nous avons rejoint une ferme avec table abritée, un jolie abreuvoir-fontaine et une belle herbe tondue pour y mettre notre bivouac. Plusieurs gouttes plus tard, nous voilà partis explorer la forêt à la recherche de ses nombreux trésors. Mais les coups de tonnerre nous ramènent rapidement au bivouac, les bras chargés de bois pour tenter un exploit incroyable : allumer un feu sous la pluie avec du bois mouillé.

Mais Tiphaine a plus d’un tour dans son sac et elle nous dévoile le secret de la résine de conifères. Mettez un peu de résine sur un vieux cône et allumez-le. Même mouillé, il s’enflamme. Une fois que ce cône s’est enflammé il suffit de rajouter délicatement de petites branches jusqu’à ce que le tout prenne feu et ensuite c’est parti !

Nous nous délectons de sa chaleur et de sa convivialité pendant presque deux heures malgré la pluie. Nous tentons de résoudre cette énigme : à partir de quel volume de précipitation d’eau, l’eau évaporée par le feu est égale au volume d’eau reçu par la pluie. Nous n’avons pas trouvé de réponse, mais ce qui est sûr c’est que nous n’étions pas à l’équilibre (- ;

Après un bon repas, nous nous enfonçons délicatement dans nos duvets sous le tarp protecteur. La nuit s’annonce calme et reposante.

Samedi 13 juillet

Rédactrice : Sandrine

Aujourd’hui c’est notre dernier jour d’itinérance et d’observation. Nous profitons d’un lever aux aurores pour observer et écouter la forêt : casse noix moucheté, pic épeiche, mésange à longue queue, troglodyte mignon, grand corbeau, accenteur mouchet, sittelle torchepot, merle à plastron, bouvreuil pivoine, mésange boréale, mésange noire. Puis nous enchainons petit déjeuner, rangement, quelques burpies pour Samuel et Sandrine et c’est reparti pour 3h de marche et une pause pique-nique avant d’arriver au centre. Nous profitons de l’absence des autres groupes pour ranger, prendre une douche et nous reposer. Le soir, c’est fondu ! Génial après ces 5 jours d’itinérance.

Le soir nous décidons de regarder le film « Aigle et Gypaète, les maitres du ciel » mais la connexion ne nous permet pas de regarder le film jusqu’à la fin.
Nous fessons les aurevoirs ce soir car demain certains se lève aux aurores alors que d’autres feront la grasse matinée.

Dimanche 14 juillet

Rédactrice : Sandrine

Et voilà, l’équipe de l’itinérance est au complet pour de nouvelles aventures que noues espérons riche en observation ! Après un tour de présentation et une explication de l’organisation des prochains jours, tout le monde part se coucher pour une dernier nuit dans un lit avant la belle étoile !

Lundi 15 juillet

Rédacteurs : Edern et Louis

Nous nous levâmes ce matin aux alentours de 8h, et suite au petit-déjeuner au centre, nous commençâmes à nous préparer. Nous prîmes ensuite la direction du parking, où, en attendant le bus, un Gypaète barbu se présenta à nous au-dessus des cols du magnifique Val d’Anniviers ! Tout se présentait pour le mieux, en somme.
Une heure et demi plus tard, nous sommes arrivés au barrage Moiry et avons commencé l’ascension des montagnes autour du lac. Faucons crécerelle, bouquetins, marmottes, vaches, Traquets motteux tels ont été les animaux que nous vîmes avant de déjeuner.
Après quelques tartines de pesto, de saucisson et de carottes, nous reprîmes la route. Plusieurs heures plus tard, nous arrivions en face du glacier de Moiry où nous avons retrouvé Tiphaine qui nous a ravitaillé pour les 3 prochains jours. 30 minutes plus tard, nous avons installé le camp de base où nous écrivons ces lignes en attendant la tempête (peut-être déjà passée).
Bisous <3 (c’est un cœur)

Mardi 16 juillet

Rédacteurs : Juliette et Jérémie

Pendant que nous mangions de l’excellente semoule, nous aperçûmes un groupe de Bouquetins mâles juste en face de notre bivouac.

Puis l’heure de se coucher arriva en même temps que le mauvais temps : beaucoup de pluie, beaucoup d’éclaires (lointains) et rebeaucoup de pluie et beaucoup de vent.

Edern s’est sacrifié vers 1h du matin pour refixer le tarp dont certaines sardines commençaient à se décrocher et a vaillamment refixer le tout.

Après une nuit agitée, nous nous levâmes tard puis nous prîmes le temps de sécher nos affaires avant d’aller effectuer un protocole habitat (étude de la végétation d’une zone donnée) en direction du glacier.

Après le pique-nique, nous avons pris de la hauteur afin d’observer les alentours pour repérer rapaces et ongulés (Bouquetins et Chamois). Un aigle houspillé par deux grands corbeaux, ainsi que des Bouquetins et des Chamois sur le versant d’en face, nous ont régalé.

En revenant nous découvrîmes de nouveaux voisins, deux homo sapiens mâles avaient planté leurs tentes près de notre bivouac. Déjà au lit au moment où nous écrivons ces lignes, la cohabitation est facile.

Ce bivouac nous permet d’admirer au Sud le magnifique glacier de Moiry, et au Nord les eaux turquoises du lac du même nom !

Le repas terminé (un régal de pâtes avec sauce tomate et gruyère) il est temps de jouer au loup-garou avec les jumelles toujours à portée de main, d’autant que le temps est avec nous ce soir !

À demain, les JJ

Mercredi 17 juillet

Rédacteurs : Martin, Louison, Quentin et Jérémie

Ce matin certains d’entre nous se levèrent vers 7h30 pour effectuer un protocole oiseaux afin de déterminer les espèces présentes dans cette zone : l’Accenteur alpin, le Traquet motteux, la Bergeronnette des ruisseaux, le Pipit spioncelle et le Faucon crécerelle tout comme le Rougequeue noir étaient au rendez-vous !

Après un bon petit déjeuner nous partîmes sur la moraine du glacier de Moiry, où un splendide panorama nous attendait.

Ce fut l’occasion d’effectuer un protocole papillon malgré le faible nombre d’individus (notamment de Moiré cendré et de Piéride du Velar) et leurs tendances à esquiver le filet.

Durant la collation, Jérémie a répondu à nos questions sur le glacier et les moraines.

Retour au camp pour un pique-nique suivi d’une partie endiablée de Dobble (sur les oiseaux).

Puis nous descendîmes vers le lac glaciaire à la recherche de plantes, de papillons, de bourdons et d’oiseaux. Grenouilles rousses et Fauvette Babillarde nous accompagnèrent durant ce moment dans un nouveau milieu.

Après la toilette dans l’eau glacée, il est temps de manger le dernier repas sur ce lieu de bivouac car demain nous nous déplacerons !

Jeudi 18 juillet

Rédacteurs : Arthur, Sam et Cole

Nous nous levâmes ce matin à 8 heures sous un ciel bleu. Après un petit déjeuner solide, nous avons rangé nos affaires et sommes partis au environ de 10 heures en direction du Lac des Lauchées (notre nouveau bivouac).

En chemin nous nous arrêtâmes afin de commencer un protocole habitat. Vers midi, nous dégustâmes 72 délicieuses tortillas. A ce moment-ci, nous eûmes le privilège d’observer un jeune Aigle royal. Cet oiseau incroyable nous a survolé pendant un court moment avant de disparaître derrière de lointaines montagnes. Nous repartîmes ensuite à travers des paysages grandioses. Arrivé au campement, nous installâmes le tarp. Une partie du groupe partit au barrage de Moiry pour récupérer le ravitaillement.

Malheureusement, Sandrine nous à quitter pour rentrer au centre et Tiphaine la remplaça avec plaisir. Au barrage ,nous avons observé quelques Tichodromes échelettes, oiseau magnifique, typique des falaises et régions montagneuses. Finalement nous dinâmes un exquis repas avant d’aller dormir sous une magnifique lune.

Bonne nuit

Vendredi 19 juillet

Rédacteurs : Maxence, Martin et Sam

Aujourd’hui nous nous réveillâmes, au magnifique sons des cloches des vaches du val d’Anniviers. Pour la matinée nous montâmes, par les sommets appréciant la beauté : les vautours fauves nous ont illuminés. Ainsi nous mangeâmes auprès d’un lac. Puis nous redescendîmes, identifiant chants d’oiseaux, papillons et plantes. Enfin nous aperçûmes le panorama et vîmes une petite hermine ainsi qu’un aigle. Et nous finîmes la journée en faisant la vaisselles au beau milieu des vaches.

Dernière nuit 😔😭😭...

Bilan scientifique

Cette année, le séjour Itinérance au pays du loup est reparti en mission scientifique pour continuer l’étude de la biodiversité du val d’Annivers. Au total se fut 4 participants la première semaine puis 10 participants la deuxième semaine qui ont contribué à ce projet de sciences participatives.

La météo du mois de juin ayant entrainer des glissements de terrain et par conséquent la fermeture de certains chemins, nous avons dû modifier l’itinéraire. Nous avons testé les camps d’alitudes : 4 jours sur place en bivouac. Cette nouvelle version de l’itinérance nous ont permis d’accentuer la partie scientifique en nous concentrant sur certaines zones encore peu connues du programme.

Au total, ce fut plus de 1443 individus observés pour 677 observations prises et un total de 219 espèces dont :
• 30 espèces d’insectes dont 57 papillons
• 8 espèces de mammifères (comprenant des déjection)
• 145 espèces de plantes
• 35 espèces d’oiseaux
• 1 espèce d’amphibien

Les espèces phares de ce séjour ont été les deux vautours moines observés la première semaine. Cette espèce qui avait quasiment disparu de l’Europe de l’ouest est de retour en Suisse et c’est une très bonne nouvelle !

On note cependant une nette diminution des papillons de jour qui peut s’expliquer par la météo pluvieuse et froide du mois de juin ayant retardé l’émergence des adultes. Cette explication ne peut toutefois expliquer totalement le faible effectif de ces derniers, fin juillet. En effet, à cette période de l’année, tous les papillons sont sous forme adulte donc la diminution des effectifs n’est pas dû uniquement au retard dans le cycle de développement des papillons, mais dans le fait qu’il y ait moins d’espèces qui arrive au stade adulte.

Du côté de la flore, une nouvelle espèce a été identifié, la gentiane à feuille courte - Gentiana brachyphylla. Cette espèce ressemble à la gentiane de schleicheir – Gentiana schleicheiri, que l’on observe régulièrement, et les critères permettant de différencier les deux espèces se trouvent sur la forme et la texture de leurs feuilles basales.

Revenons maintenant aux oiseaux et notons qu’une nouvelle espèce a été peut-être entendu et observé sur le programme : le pipit farlouse qui présente un chant légèrement plus métallique que son cousin, le pipit spioncell, très commun dans les montagnes Suisses.

Et bien sûr n’oublions pas le bourdon alpin – Bombus alpins qui intègre la liste des espèces recensés et identifiables par nos jeunes scientifiques en herbe.
Autre bilan que l’on peut faire concerne les protocoles scientifiques.
Au total sur les deux semaines, se fut :

• 5 protocoles habitats réalisés. Ces derniers permettent de caractériser l’habitat d’une zone définit en identifiant des espèces dominantes ainsi que toutes les espèces présents.
• 4 protocoles oiseaux réalisés. Ces derniers permettent de recenser les espèces d’oiseaux présents sur un lieu et pendant un temps donné.
• 1 protocoles rhopalocères (papillons de jours). Ces derniers permettent de recenser les espèces de papillons présents sur un lieu et pendant un temps donné.

Ces protocoles seront réalisés tous les 3-4 ans et de manière toujours identiques afin de pouvoir comparer les données entre elles, sur le long terme. Les résultats nous permettront peut-être de donner des tendances sur la répartition des espèces au fil du temps.

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